« Portons un toast farouchement enthousiaste à la pièce Décadence mise en scène par Gilles Martin. Une écriture virtuose, d'une élégante irrévérence, soutenue sans faille par les comédiens Catherine Pello et Guy Vouillot. »
L’Humanité – Aude Brédy
« De la fracture sociale dont Chirac n'a pas rêvé dans ses pires cauchemars. Ne manquez pas les dernières secondes.»
Libération – Willem
« Ca secoue fort et ça laisse des traces après consommation : envoûtement créatif, talent des acteurs, dépouillement millimétré de la mise en scène, vertige du texte. Décadence ne laisse pas indemne. »
Arte – Denis de Mongolfier
« Les acteurs magnifient le texte et l’éclairent de lueurs de révolte et de sincérité. Le point de vue de Martin sur les soubresauts et le sens du texte de Berkoff, sa direction agile des comédiens, conduisent vers une théâtralité frissonnante de vie et d’exigence, laissant le spectateur écartelé de doute et d’émotion, pantois, parfois terrassé sur son siège. »
Cassandre – Marc Tamet
« Une pièce virtuose interprétée par deux comédiens talentueux. »
France Info - Claire Baudéan
« Quand l'argot rencontre la poésie pure... Coup de chapeau à Gilles Martin, le metteur en scène. Une performance remarquable ! »
La Provence – Elise Ménand
« Langue crue, cruelle, violente. Gilles Martin met merveilleusement en exergue la crudité des propos, l’érotisme permanent, l’humour noir et la farce. »
Courrier International – Eric Glover
« Une Décadence magnifique et somptueuse. Du sublime enchâssé dans du vulgaire. Un grand moment ! »
Revue Spectacle – Maud Serpin
« C’est décapant et violent, poétique et sensuel, tonique et réjouissant. Catherine Pello et Guy Vouillot insufflent à ce texte une énergie incroyable dans une exquise théâtralité mise en scène par Gilles Martin. »
France Bleu Vaucluse – Sabine Pierrel
« La langue exacerbée de Berkoff mise en scène avec une belle maestria par Gilles Martin. Catherine Pello et Guy Vouillot réussissent une très belle interprétation tonique, sensuelle, rythmée et précise, où la voix et le corps sont étroitement associés. Une colère rageuse contre l’état brutal de nos sociétés, et une théâtralité réjouissante. »
La Terrasse – Agnès Santi